les récoltes de la honte

Discussions libres
Répondre
KOGIMAIDEO
    unknown unknown

les récoltes de la honte

Message par KOGIMAIDEO »

;( bonjours a tous j'ai partager ce lien sur tout les sites que je connais entre autre Facebook pour que les personnes qui ne l'ont pas vus en prennent conscience( ça viendra bientôt chez nous) libre a vous de le faire ou non perso: ça me plairait pas que moi ma femme ou mes gosses bosses pour moins de 100 euro! le lien ici: http://www.youtube.com/watch?v=yDQuIn6UjP4
odjinan
Membre VIP
Membre VIP
Messages : 604
Enregistré le : sam. 13 avr. 2013 11:55
A remercié : 34 fois
A été remercié : 198 fois
    unknown unknown

Re: les récoltes de la honte

Message par odjinan »

"Cette vidéo inclut du contenu de Canal Plus et de France Televisions. Au moins un de ces propriétaires l'a bloqué dans votre pays pour des raisons de droits d'auteur."

bon, j ai quand meme trouvé un résumé:

Pour les consommateurs, la baisse du montant de leur Caddie serait mieux, forcément mieux. Mais le bonheur des uns ne ferait-il pas le malheur des autres ? Cette pression sur les prix a-t-elle un coût pour la main-d'oeuvre qui récolte, ramasse ou pêche les aliments ? Pour répondre à cette question, le journaliste Wandrille Lanos a mené l'enquête pendant huit mois, en remontant certaines filières de l'industrie agroalimentaire. Et, avec l'équipe de « Cash investigation », il a découvert des conditions de travail qui s'apparentent à l'exploitation humaine. Parfois, au coeur même de l'Union européenne.

Ainsi, dans les Pouilles, en Italie, nous découvrons que nos fruits et légumes sont cueillis par des ouvriers agricoles immigrés qui travaillent parfois pour 2,70 euros de l'heure. A Foggia, ces clandestins, pour la plupart originaires d'Afrique de l'Ouest, vivent dans un bidonville insalubre, appelé de manière tristement réaliste Gran Ghetto. En 2012, le principal syndicat agricole italien (le CGIL) évaluait à 400 000 le nombre d'immigrés clandestins exploités dans le secteur de l'agriculture.

Bien souvent, les cueilleurs ne connaissent même pas leur employeur : ils sont recrutés par des hommes qu'ils appellent des « caporals ». Ce système, nommé de ce fait le caporalato, sévit dans tout le sud-est de la Botte. Il nous permet d'acheter, à moindre coût, brocolis, pastèques, olives, tomates fraîches ou en conserve, etc., dans nos grandes surfaces. Cette exploitation humaine ne respecte ni le droit européen ni la charte éthique signée par nos grandes enseignes. Comme toujours, le magazine a, bien sûr, demandé à ces dernières de réagir, mettant au jour l'opacité et la complexité des filières d'approvisionnement de cette industrie, qui multiplie les intermédiaires. L'enquête se poursuit sur les filières « poisson » et « bananes » qui révèlent elles aussi des conditions de travail qu'on peut qualifier d'esclavage moderne. A ne pas manquer.

Hélène Rioffaudeau

http://teleobs.nouvelobs.com/la-selecti ... honte.html" onclick="window.open(this.href);return false;


edit:
http://nemesistv.info/video/74DW5S1OKWW ... e-la-honte#" onclick="window.open(this.href);return false;
gibe
Membre VIP
Membre VIP
Messages : 4255
Enregistré le : jeu. 2 déc. 2010 08:43
Localisation : 86600
A remercié : 66 fois
A été remercié : 46 fois
    unknown unknown

Re: les récoltes de la honte

Message par gibe »

L'Espagne serait également dans ce cas....
Image Parfois je me dis que les gens vont se rendre compte de l'arnaque de la mondialisation, du tout électrique, de la cancel culture et qu'ils vont faire la révolution. Puis je réalise que les gens regardent Hanouna, Plus belle la vie, etc.
Répondre